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Le musée des poissons morts / nouvelles, nouvelles
EAN13
9782226177209
ISBN
978-2-226-17720-9
Éditeur
Albin Michel
Date de publication
Collection
A.M. VOIE ABAND
Nombre de pages
272
Dimensions
23 x 15 cm
Poids
359 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Code dewey
850

Le musée des poissons morts / nouvelles

nouvelles

De

Albin Michel

A.M. Voie Aband

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Dix ans après Le Cap, son premier livre, Charles D'Ambrosio est de retour avec ce magnifique recueil de nouvelles. De la relation entre un père et son fils schizophrène au périple destructeur d'un couple en quête de recommencement, ces histoires de famille, d'amour et d'amitié capturent ce moment crucial où tout prend sens. Graves ou légères, ces bribes d'existence sont autant de petits chefs-d'oeuvre dont l'atmosphère, le style et les personnages possèdent une densité inouïe.« Une remarquable réussite. » The New York Book Review.« D'Ambrosio, qui prend place aux côtés de Carver comme l'un des maîtres contemporains de la nouvelle, marque son propre territoire avec un recueil éblouissant. » The Los Angeles Times.« L'étoffe des grands... Son univers littéraire est habité par l'éclat doux-amer de l'existence. » Kirkus Reviews.« Percer les apparences, les conventions, faire surgir l’extraordinaire sous le vernis du visible et du rebattu : Charles D’Ambrosio est une sorte de magicien de cette opération-là. » Raphaëlle Rérolle, Le Monde des livres.« Que Charles D’ambrosio se rassure : le seul effort à produire si l’on désire le lire est tout simplement d’accepter d’être chamboulé, vaincu par une espèce de lumière à la fois diffuse, généreuse et fraternelle. […] Son écriture est un miroir où se reflètent les ténèbres de l’âme humaine. […] Avec cette élégance feutrée que l’on reconnaît chez les plus grands nouvellistes américains […], il met en scène des tranches de vie, des personnages à contre-temps, comme évaporés de leurs propres existences. » Martine Laval, Télérama.« Charles D’Ambrosio nous offre des portraits poignants, mais sans pathos. Par la force d’une écriture à la fois simple et travaillée, d’une beauté dépouillée, qui touche en plein cœur. » Christine Gomariz, Paris-Match.« D’Ambrosio, en maître de la nouvelle, remonte patiemment la lisière des rapports humains à la découverte des mensonges et petits meurtres en famille et de“l’étrange cloître secret des êtres” pour donner des nouvelles de tendresse étouffée, des petites pièces rechapées, ciselées, lustrées, émaillées. » La Quinzaine littéraire.«  Charles D’Ambrosio, voilà un nom à retenir. […] Tout l’art de ce formidable nouvelliste tient dans sa capacité à tordre les conventions, tout en collant à la vérité du quotidien. » Éric Neuhoff,  Madame Figaro.« Comment ne pas être retenu par chaque phrase de chaque nouvelle de Charles D’Ambrosio »? » Libération.
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