- Format
- Broché
- EAN13
- 9782226156686
- ISBN
- 978-2-226-15668-6
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 05/01/2005
- Collection
- A.M. BIOG.MEM. (6)
- Séries
- Journal / Pascal Sevran. (6)
- Nombre de pages
- 288
- Dimensions
- 22,5 x 2,2 cm
- Poids
- 409 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 791.4
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- Occasion - Bon Etat - Albin Michel GF - 2004 - 9782226156686 - Grand Format
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Morterolles, 8 août 2004
« Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ? J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant avec le temps qui passe. »
« Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et mélancolie. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Des pages magistrales, les mots les plus justes pour dire l'absence. » Richard Cannavo, Le Nouvel Observateur
« Des bonheurs d'écriture à toutes les pages. » Gilles Pudlowski, Le Point
« Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et toujours juste. Sevran s'inscrit dans la lignée de ses idoles littéraires: Berl, Jouhandeau, Chardonne, Léautaud. » Hugo Marsan, Le Monde
« Et les cloches de l'église qui ne sonnent plus. Il me semble pourtant les entendre, parfois, au bout de mon silence. Quelle heure est-il exactement ? J'ai dîné seul sur la terrasse. Christiane m'avait laissé des blinis et du saumon. J'ai bu de la vodka et je me demandais : quelle heure est-il dans ma vie ? Sur cette terrasse abritée par le tilleul, les derniers beaux soirs remontent à lui. Tous les étés de sa jeunesse ici se confondent maintenant avec le temps qui passe. »
« Sevran a du style, du rythme, une langueur qui flirte entre fanfare et mélancolie. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Des pages magistrales, les mots les plus justes pour dire l'absence. » Richard Cannavo, Le Nouvel Observateur
« Des bonheurs d'écriture à toutes les pages. » Gilles Pudlowski, Le Point
« Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et toujours juste. Sevran s'inscrit dans la lignée de ses idoles littéraires: Berl, Jouhandeau, Chardonne, Léautaud. » Hugo Marsan, Le Monde
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