D'Anna Freud, je savais peu de choses.
Qu'elle fut la fille de son père jusqu'au bout est une évidence mais Anne Freud était un personnage complexe et multiple. Parfois dans l'ombre du père et toujours en quête de liberté intellectuelle et professionnelle. Une femme affranchie ? Oui mais pas toujours.
Pour Anna, ses doutes, ses intuitions, ses amitiés amoureuses, pour la famille Freud... J'ai beaucoup aimé "Les sept maisons d'Anna Freud".
D'Anna Freud, je savais peu de choses.
Qu'elle fut la fille de son père jusqu'au bout est une évidence mais Anne Freud était un personnage complexe et multiple. Parfois dans l'ombre du père et toujours en quête de liberté intellectuelle et professionnelle. Une femme affranchie ? Oui mais pas toujours.
Pour Anna, ses doutes, ses intuitions, ses amitiés amoureuses, pour la famille Freud... J'ai beaucoup aimé "Les sept maisons d'Anna Freud".
Vertigineux et passionnant !
Après la "Trilogie de Benlazar" sur l'Algérie, Frédéric Paulin se consacre à la tragédie libanaise dans le roman déchirant, dantesque et tentaculaire d'une guerre civile commencée il y a 40 ans et dont l'écho se fait encore entendre bruyamment aujourd'hui.
L'immense talent de Frédéric Paulin mêle les faits historiques et romanesques.
"Nul ennemi comme un frère" est vertigineux et passionnant.
Vertigineux et passionnant !
Après la "Trilogie de Benlazar" sur l'Algérie, Frédéric Paulin se consacre à la tragédie libanaise dans le roman déchirant, dantesque et tentaculaire d'une guerre civile commencée il y a 40 ans et dont l'écho se fait encore entendre bruyamment aujourd'hui.
L'immense talent de Frédéric Paulin mêle les faits historiques et romanesques.
"Nul ennemi comme un frère" est vertigineux et passionnant.
J'aime profondément les égarements des Montaigu.
Le père de l'auteur, personnage romanesque et fantanque, un drôle de zèbre vieux, malade et dans le plus grand dénuement, suggère à son fils d'écrire un livre sur l'arrière-grand-père Louis mort en héros. Cette quête historique touche très vite aux fantômes familiaux, à ce qui ne se dit pas mais se vit et se répète sur plusieurs générations.
J'aime profondément les égarements des Montaigu.
"Le coeur" de Thibault de Montaigu a du panache !