www.leslibraires.fr

Si tu vas à Rio...

Que vous alliez au Brésil pour la Coupe du Monde ou que vous la regardiez depuis chez vous, nos libraires vous emmènent au Brésil, au travers de titres phares de la littérature brésilienne ou de livres explorant ce pays ! Embarquement immédiat !

Idées reçues sur un nouveau grand

Cavalier bleu éditions

3,19

Présentation du Brésil, un pays de contrastes, de sa population cosmopolite, de son urbanisation galopante, de ses favelas, etc. P. Claval montre que s'il existe de nombreuses inégalités sociales et une certaine insécurité, ce pays est également le berceau de l'altermondialisme et a accédé aux technologies de pointe dans de nombreux domaines.


roman-feuilleton

Anne-Marie Métailié

3,60

Attiré par la fièvre du caoutchouc, Galvez, aventurier espagnol, s'adonne aux conspirations d'alcôve et conjure les mauvais sorts. Conquistador burlesque, il se laisse séduire par les pompes impériales. Hallucinant feuilleton qui évoque la grande épopée de l'Amazonie.


Des hommes sont venus

Folio

7,80

«C'est le Paradis terrestre !» À cette exclamation, Blaise Cendrars répond en 1952 par ce livre, longtemps introuvable. Des immeubles cariocas au labyrinthe amazonien, en passant par le destin monotone des gauchos et les paysages désolés du Nordeste, il nous donne à voir un pays tourné vers l'avenir, pétri de contradictions. Car l'homme est partout un loup pour l'homme. Ce texte, d'une actualité saisissante, est illustré de trente-cinq photographies de Jean Manzon issues de l'édition originale.
Photographies de Jean Manzon
«L'histoire du Brésil est shakespearienne. Être ou ne pas être. Le passé. L'avenir. On n'a pas fini de découvrir le Brésil qui vit au jour le jour. Est-ce sa force ou sa faiblesse ? Au lecteur d'en juger d'après les belles photographies de mon ami Jean Manzon...» Blaise Cendrars.


Neuf 12,40
Occasion 1,75

«Les nouveaux occupants apportèrent les ordures, les boîtes de conserve, les chiens bâtards, les Échous et les Pombagiras sur des colliers sacrés, les jours de rixes, les vieux comptes à régler, les lambeaux de rage de coups de feu, les nuits pour veiller les cadavres, les marques des crues, les troquets, les marchés du jeudi et du dimanche, les vers rouges dans le ventre des enfants, les revolvers, les représentations d'Orichas entortillées autour du cou, les poulets pour les offrandes, les sambas chantées et syncopées, les jeux clandestins, la faim, la trahison, les morts, les christs sur des chaînettes fatiguées, les forrós chauds pour danser, les lampes à huile pour éclairer le saint, les petits fourneaux à charbon, la pauvreté pour vouloir s'enrichir, les yeux pour ne jamais voir, ne jamais dire, jamais, les yeux et le cran pour faire face à la vie, déjouer la mort, rafraîchir la rage, ensanglanter des destins, faire la guerre et être tatoué.»
Paulo Lins a passé son enfance dans une favela de Rio de Janeiro. Pour écrire La Cité de Dieu, il a mené pendant plusieurs années des recherches sur le crime organisé dans les bidonvilles brésiliens.


24,90

Un vieux jagunço (gardien de troupeau) raconte ces journées passées de bataille en bataille et ses longues chevauchées à méditer sur la vie et la mort, sur les moments passés auprès de l'énigmatique Diadorim.