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«Chaque fois que j’ai repensé à cet après-midi, j’ai eu l’impression qu’elle avait déjà pris sa décision quand elle avait commencé à Attendre devant la porte de mon immeuble. Je n’avais jamais aimé de cette façon depuis plus de vingt ans, comme si je crevais de faim.» Jens Christian Grøndahl brosse le portrait d’un homme à trois âges : jeune romantique et plein d’idéaux, enseignant et père en alternance et enfin grand-père. Les femmes sont omniprésentes dans la vie du narrateur, à chaque basculement dont elles sont souvent l’origine. Les Portes de Fer parle d’amour mais aussi du désenchantement de l’individu occidental que le grand auteur danois réussit à croquer avec une lucidité et une élégance toutes singulières.
«Chaque fois que j’ai repensé à cet après-midi, j’ai eu l’impression qu’elle avait déjà pris sa décision quand elle avait commencé à Attendre devant la porte de mon immeuble. Je n’avais jamais aimé de cette façon depuis plus de vingt ans, comme si je crevais de faim.»


8,30

«Ils ne quitteront jamais Barrøy, c’est une idée impossible, on ne sait pas que, lorsque l’on vit sur une île, on n’en part jamais, on ne sait pas qu’une île s’accroche à ce qu’elle a, de toutes ses forces.» Ingrid Barrøy grandit sur une île minuscule au nord de la Norvège au-dessous des Lofoten. Avec son père, la mer est leur aventure. Entre la pêche, les tempêtes et un extrême dénuement, elle possède les saisons, les oiseaux et l’horizon. Mais face à cette nature hostile et magnifique, les enfants sont parfois forcés de grandir vite. Sous la pression des éléments, les vies de ces invisibles deviennent des destinées.
«Un voyage au bout du monde dans un décor grandiose.» Elena Balzamo, Le Monde des livres.


9,95

En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d’Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.

«Un humour baroque et léger irradie tout au long de cette histoire où rien décidément ne se passe comme il faut, ni comme on s’y attend.»
Anne Crignon,Le Nouvel Observateur

«Tant de délicatesse à chaque page confine au miracle de cette Rosa Candida, qu’on effeuille en croyant rêver, mais non. Ce livre existe, Auður Ava Ólafsdóttir l’a écrit et il faut le lire.»
Valérie Marin La Meslée, Le Point.
Roman traduit de l’islandais par Catherine Eyjólfsson


7,50

Islande, vers l'an mil. Leiv, un jeune Viking dont le père a été assassiné, est farouchement déterminé à laver ce meurtre dans le sang. Il embarque clandestinement à bord d'un drakkar en partance pour le Groenland. Mais un tel voyage est périlleux, et semé d'imprévus. C'est dès lors un destin inattendu qui attend Leiv, avec la découverte d'un autre peuple, les Inuit, et l'apprentissage de la tolérance et de l'amitié.
Jørn Riel nous livre ici un conte groenlandais pour petits et grands, où il n'est question, avec pudeur et sobriété, que de choses essentielles
Traduit du danois par Susanne Juul et Bernard Saint Bonnet.


Matrice occultée à la source des Amants de Byzance, ce roman publié deux ans après la mort de Mika Waltari, composé dès les années cinquante, a été comparé à sa sortie à L'Œuvre au Noir de Marguerite Yourcenar. Au XVe siècle, Johannes, jeune théologien malmené par la brutalité de son temps, tenaillé entre la chair et l'esprit, entre l'Orient et l'Occident, s'engage dans l'armée chrétienne qui veut sauver Byzance des Turcs. Tombé entre les mains du sultan ennemi, puis entre celles de son fils, futur conquérant de Constantinople, le jeune homme est le témoin de la fin d'un monde, tandis que s'annonce une ère nouvelle assujettie à une violence jusqu'alors inconnue...