- EAN13
- 9782140312212
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 29/12/2022
- Collection
- Poésie(s)
- Langue
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782140312212
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
8.99
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 12,00
Parmi les diverses espèces de poètes, José Vala pourrait incarner cette sorte
d'écrivain, finalement assez rare, qui n'écrit pas pour lui-même mais dans
l'obsession du partage. Il y a toujours les autres sous la plume de José Vala,
dans le paysage mental qu'il déroule et jusque dans sa solitude de traceur de
poésies. Les autres, ce sont d'abord les laissés-pour-compte, les malheureux,
les oubliés, tous ceux qui sont victimes des persécutions, de l'autoritarisme
et de l'injustice. Il nomme parfois l'ennemi : le fasciste, et ceux qui
empêchent les Palestiniens d'être libres. Mais, s'il est militant, c'est au
service de toute la communauté des hommes, sans la moindre étroitesse
partisane. Ses mots sont-ils pour autant des bombes ? Ils peuvent l'être mais,
dans leur richesse, ils chantent, caressent, réconfortent, contestent,
provoquent, raisonnent, crient, secouent, apaisent, s'amusent, jonglent,
métamorphosent. Dans l'un de ses vers, José Vala évoque « l'esprit goéland ».
Quelle plus belle formule pour un poète dont le voyage sur la planète Terre
est d'une vaste curiosité aimante, à l'uvre dans chaque strophe ? Gilles
Costaz
d'écrivain, finalement assez rare, qui n'écrit pas pour lui-même mais dans
l'obsession du partage. Il y a toujours les autres sous la plume de José Vala,
dans le paysage mental qu'il déroule et jusque dans sa solitude de traceur de
poésies. Les autres, ce sont d'abord les laissés-pour-compte, les malheureux,
les oubliés, tous ceux qui sont victimes des persécutions, de l'autoritarisme
et de l'injustice. Il nomme parfois l'ennemi : le fasciste, et ceux qui
empêchent les Palestiniens d'être libres. Mais, s'il est militant, c'est au
service de toute la communauté des hommes, sans la moindre étroitesse
partisane. Ses mots sont-ils pour autant des bombes ? Ils peuvent l'être mais,
dans leur richesse, ils chantent, caressent, réconfortent, contestent,
provoquent, raisonnent, crient, secouent, apaisent, s'amusent, jonglent,
métamorphosent. Dans l'un de ses vers, José Vala évoque « l'esprit goéland ».
Quelle plus belle formule pour un poète dont le voyage sur la planète Terre
est d'une vaste curiosité aimante, à l'uvre dans chaque strophe ? Gilles
Costaz
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