- EAN13
- 9782268098791
- Éditeur
- Éditions du Rocher
- Date de publication
- 02/2018
- Langue
- français
Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782268098791
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Papier - Éditions du Rocher Neuf 17,20Occasion 4,00
Bienvenue à Hector-Luneau, grande cité scolaire parisienne, en ce jour de
prérentrée ! Une ruine et une ambiance délétère. Ça jacasse, ça s'agite, ça
réclame, ça se lamente. C'est Tohu-bahu. Vetraz reprend l'enseignement après
un long séjour à l'étranger; Chloé est collégienne, plutôt mutine. Fefeu,
c'est le latiniste hanté par la décadence ; Kétidja, elle, a souffert dans ce
lycée pour poursuivre ses études ; l'angliciste Ignolin endure depuis des
années ; quant à Agnès, elle débarque du 93 avec un moral à toute épreuve.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année
scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la
communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en
fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité.
Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les
relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions. La solitude de
chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de
l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.
prérentrée ! Une ruine et une ambiance délétère. Ça jacasse, ça s'agite, ça
réclame, ça se lamente. C'est Tohu-bahu. Vetraz reprend l'enseignement après
un long séjour à l'étranger; Chloé est collégienne, plutôt mutine. Fefeu,
c'est le latiniste hanté par la décadence ; Kétidja, elle, a souffert dans ce
lycée pour poursuivre ses études ; l'angliciste Ignolin endure depuis des
années ; quant à Agnès, elle débarque du 93 avec un moral à toute épreuve.
Chacun de ces personnages, tour à tour, fait la chronique d'une année
scolaire, où, sur fond de guerre en Irak et de grève, défile toute la
communauté scolaire. De difficultés en humiliations, de bonnes volontés en
fantasmes, de drôleries en cruautés, chaque voix dit son histoire, sa vérité.
Mais on dirait un théâtre d'ombres : on ne communique plus vraiment, les
relations humaines se réduisent à des pulsions, des réactions. La solitude de
chacun, au fond, est terrible. Une fiction qui met en scène le nihilisme de
l'Education nationale, sans complaisance mais non sans ironie et humour.
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