- EAN13
- 9782367813189
- Éditeur
- Presses universitaires de la Méditerranée
- Date de publication
- 19/12/2019
- Collection
- Voix des Suds
- Langue
- français
Les paradoxes de l'enfermement dans l'Europe moderne (XVIe-XVIIIe siècles)
Espagne — France — Portugal
Presses universitaires de la Méditerranée
Voix des Suds
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782367813189
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Dans l’Europe moderne, les relations d’enfermement dans le commerce entre les
sexes et le thème des rapports hommes/femmes dans les espaces publics et
privés ont déjà suscité de nombreuses études. C’est pourquoi le présent
ouvrage se propose de renouveler les perspectives en interrogeant à nouveau la
notion d’enfermement mais en reliant ce phénomène tout particulièrement aux
paradoxes qu’il induit. La femme occupe une place sociale fortement déterminée
entre autres par la morale chrétienne, mais également par une société marquée
par la prédominance masculine dans son fonctionnement. Elle se trouve alors le
plus souvent confinée aux espaces clos (la demeure familiale, le couvent...),
cette clôture pouvant être marquée par de grandes différences selon les aires
géographiques et les périodes étudiées (XVIe-XVIIIe siècles). La recluse puise
dans son esprit des formes d’échappatoires allant de la simple ruse à la plus
grande folie. Les études contenues dans ce volume portent une attention
particulière aux modalités métaphoriques ou symboliques de l’enfermement,
ainsi que sur les moyens employés par les femmes pour s’y soustraire.
*[5e]: Cinquième
sexes et le thème des rapports hommes/femmes dans les espaces publics et
privés ont déjà suscité de nombreuses études. C’est pourquoi le présent
ouvrage se propose de renouveler les perspectives en interrogeant à nouveau la
notion d’enfermement mais en reliant ce phénomène tout particulièrement aux
paradoxes qu’il induit. La femme occupe une place sociale fortement déterminée
entre autres par la morale chrétienne, mais également par une société marquée
par la prédominance masculine dans son fonctionnement. Elle se trouve alors le
plus souvent confinée aux espaces clos (la demeure familiale, le couvent...),
cette clôture pouvant être marquée par de grandes différences selon les aires
géographiques et les périodes étudiées (XVIe-XVIIIe siècles). La recluse puise
dans son esprit des formes d’échappatoires allant de la simple ruse à la plus
grande folie. Les études contenues dans ce volume portent une attention
particulière aux modalités métaphoriques ou symboliques de l’enfermement,
ainsi que sur les moyens employés par les femmes pour s’y soustraire.
*[5e]: Cinquième
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