- EAN13
- 9782377473366
- Éditeur
- UGA EDITIONS
- Date de publication
- 31/01/2022
- Collection
- Ateliers de l’imaginaire
- Langue
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782377473366
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Pandémie, fléaux, holocauste nucléaire, volcanisme, astéroïde ou comète
entrant en collision avec la Terre, réchauffement climatique, violences
cataclysmiques, crise malthusienne, invasion extraterrestre, cybergeddon...
autant de scénarios postapocalyptiques qui nourrissent de manière
exceptionnelle l’imaginaire de bon nombre d’écrivains, de cinéastes (films ou
séries télévisées), de créateurs de BD ou de jeux vidéo. Le genre
postapocalyptique, dont Le Dernier Homme (1805) de Jean-Baptiste Cousin de
Grainville et The Last Man (1826) de Mary Shelley sont les premières
manifestations, reproduit aussi bien le début de la fin du monde que l’après,
dans une ambiance anxiogène. Vouloir raconter un monde différent afin
d’interroger la réalité actuelle (écologique, politique, morale, sociale,
théologique, psychique, philosophique, etc.) et notre rapport au monde, c’est
désormais, à l’ère de l’Anthropocène et du Capitalocène, une conscience et une
angoisse : celles d’habiter post-apocalyptiquement le monde.
entrant en collision avec la Terre, réchauffement climatique, violences
cataclysmiques, crise malthusienne, invasion extraterrestre, cybergeddon...
autant de scénarios postapocalyptiques qui nourrissent de manière
exceptionnelle l’imaginaire de bon nombre d’écrivains, de cinéastes (films ou
séries télévisées), de créateurs de BD ou de jeux vidéo. Le genre
postapocalyptique, dont Le Dernier Homme (1805) de Jean-Baptiste Cousin de
Grainville et The Last Man (1826) de Mary Shelley sont les premières
manifestations, reproduit aussi bien le début de la fin du monde que l’après,
dans une ambiance anxiogène. Vouloir raconter un monde différent afin
d’interroger la réalité actuelle (écologique, politique, morale, sociale,
théologique, psychique, philosophique, etc.) et notre rapport au monde, c’est
désormais, à l’ère de l’Anthropocène et du Capitalocène, une conscience et une
angoisse : celles d’habiter post-apocalyptiquement le monde.
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