- EAN13
- 9782753546325
- Éditeur
- Presses universitaires de Rennes
- Date de publication
- 19/07/2016
- Collection
- Interférences
- Langue
- français
Le dialogue
ou les enjeux d'un choix d'écriture (pays de langues romanes)
Presses universitaires de Rennes
Interférences
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782753546325
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Papier - Presses universitaires de Rennes Neuf 20,00Occasion 14,40
Ce volume regroupe les textes issus du colloque organisé par l’équipe de
recherche Interdisciplinaire en langues romanes (ERILAR) de l’université
Rennes 2 en octobre 2003. Son titre précise l’objet propre de la rencontre :
interroger une forme textuelle particulière, tout spécialement dans sa
dimension alternative par rapport à d’autres stratégies d’écriture (comme par
exemple le traité). La Renaissance en constituait le centre de gravité
historique : le dialogue connaît en effet avec l’âge de l’humanisme un
exceptionnel regain de faveur, nourri de la lecture des grands textes de
l’Antiquité classique. L’hypothèse forte qu’il s’agissait dès lors de vérifier
était qu’un tel choix allât de pair avec la reconfiguration des savoirs à
l’aube des temps modernes et avec la remise en cause de leurs procédures
d’élaboration traditionnelles. L’affichage de nouvelles modalités de
production du « vrai » soulève notamment la question de l’autorité de qui
prétend l’énoncer et redéfinit du même coup le statut de la vérité. Mais
éclairer de tels enjeux supposait aussi de mettre en perspective cette reprise
du genre. C’est pourquoi le volume, à côté du noyau central consacré aux XVe
et XVIe siècles, comprend des aperçus sur son amont médiéval et son aval
immédiat. C’est pourquoi encore une introduction à caractère théorique tente
de mieux en cerner les contours sur le plan générique.
recherche Interdisciplinaire en langues romanes (ERILAR) de l’université
Rennes 2 en octobre 2003. Son titre précise l’objet propre de la rencontre :
interroger une forme textuelle particulière, tout spécialement dans sa
dimension alternative par rapport à d’autres stratégies d’écriture (comme par
exemple le traité). La Renaissance en constituait le centre de gravité
historique : le dialogue connaît en effet avec l’âge de l’humanisme un
exceptionnel regain de faveur, nourri de la lecture des grands textes de
l’Antiquité classique. L’hypothèse forte qu’il s’agissait dès lors de vérifier
était qu’un tel choix allât de pair avec la reconfiguration des savoirs à
l’aube des temps modernes et avec la remise en cause de leurs procédures
d’élaboration traditionnelles. L’affichage de nouvelles modalités de
production du « vrai » soulève notamment la question de l’autorité de qui
prétend l’énoncer et redéfinit du même coup le statut de la vérité. Mais
éclairer de tels enjeux supposait aussi de mettre en perspective cette reprise
du genre. C’est pourquoi le volume, à côté du noyau central consacré aux XVe
et XVIe siècles, comprend des aperçus sur son amont médiéval et son aval
immédiat. C’est pourquoi encore une introduction à caractère théorique tente
de mieux en cerner les contours sur le plan générique.
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