- EAN13
- 9782915310580
- Éditeur
- Éditions de l’IHEAL
- Date de publication
- 30/01/2014
- Collection
- Travaux et mémoires
- Langue
- français
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782915310580
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Ce livre s'inscrit dans l'Année internationale de l'eau douce (2003) à un
moment où cette ressource est l'objet de débats animés. Car c'est devenu une
évidence au cours des dernières années : l'eau est perçue de moins en moins
comme « naturelle » et de plus en plus comme indissociable des réseaux
techniques et politiques. Ces réseaux qui la font circuler dans l'espace et
qui assurent sa distribution lui confèrent un statut de question sociale
majeure. Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que
disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la
participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du
secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle
émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de
la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce
foisonnement. Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de
praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain
assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les
comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire
constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le «
modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les
nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement
représentées. Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil
conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».
moment où cette ressource est l'objet de débats animés. Car c'est devenu une
évidence au cours des dernières années : l'eau est perçue de moins en moins
comme « naturelle » et de plus en plus comme indissociable des réseaux
techniques et politiques. Ces réseaux qui la font circuler dans l'espace et
qui assurent sa distribution lui confèrent un statut de question sociale
majeure. Ces réseaux « parlent ». Il faut qu'on les écoute. En définitive, que
disent-ils ? Ils évoquent tour à tour la trilogie usagers-clients-citoyens, la
participation et les conflits, le marché de l'eau, les multinationales du
secteur, les privatisations et la régulation... De cette mosaïque conceptuelle
émerge avec force l'idée que nous sommes en présence d'un aspect essentiel de
la mondialisation. Eaux et réseaux a pour ambition d'explorer et d'ordonner ce
foisonnement. Il regroupe, en une vingtaine d'articles de chercheurs et de
praticiens venus d'horizons les plus divers, des expériences de terrain
assorties des grilles d'analyse qui permettent de les évaluer et de les
comparer. L'ouvrage offre ainsi un espace de recherche pluridisciplinaire
constitué de multiples études régionales et urbaines où la France et le «
modèle français » occupent naturellement une place à part, tandis que les
nations latino-américaines - Argentine en tête - sont très largement
représentées. Dans ce panorama international, les réseaux sont le meilleur fil
conducteur pour explorer le nouveau « continent de l'eau ».
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