Dans ces « récits de vie et d´ovalie », François Moncla raconte, pour la première fois, l´itinéraire de l´enfant de la valléed´Ossau, celui des truites attrapées à la main dans le gave et du rugby des villages, qui va devenir le capitaine éroïque de l´équipe de France. Pour le dernier test-match à Durban face au Springboks, le 16 août 1958, la presse sud africaine annonce la couleur : « Du sang coulera samedi à Ellis Park. » Moncla raconte les regards dans les vestiaires, la peur face à des « joueurs monstrueux » et l´ivresse de la victoire après un Himalaya de rugby. Et les anglais François ? « Avec eux, cela a toujours été rude mais correct, quelques gifles, un pied au cul à Bendon, mais pas de scandales quoi... » Après avoir rappelé quelques vérités sur « les gros pardessus » de la Fédération française de rugby, le béarnais livre portraits et anecdotes d´un temps où le seul salaire était celui de la fraternité. Moncla parle d´ovalie et des autres engagements de sa vie pour la Paix et la justice sociale. « Après tout ce que j´ai vécu, je crois à la solidarité des hommes. S´aider les uns les autres pour accéder à une vie meilleure. »
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