- Format
- Broché
- EAN13
- 9782847242737
- ISBN
- 978-2-84724-273-7
- Éditeur
- Jacob-Duvernet
- Date de publication
- 30/04/2010
- Nombre de pages
- 263
- Dimensions
- 24,2 x 15,5 x 2,4 cm
- Poids
- 399 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 809.793
Fini de rigoler ! / peut-on encore se marrer quand on est de gauche ?
peut-on encore se marrer quand on est de gauche ?
De Martin Leprince
Jacob-Duvernet
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- Bon état
- Format
- 15x24x2cm. 2010. Broché. 263 pages.
8.00 (Occasion)
Rire de ce que les autres ne trouvent pas drôle n'est plus seulement une faute de goût, c'est désormais une incitation à la haine. Les pitres d'hier, qui paraît-il osaient tout, ont droit aux louanges.
Rire de ce que les autres ne trouvent pas drôle n'est plus seulement une faute de goût, c'est désormais une incitation à la haine. Les pitres d'hier, qui paraît-il osaient tout, ont droit aux louanges. À tort ou à raison, ceux qui tentent aujourd'hui de les imiter sont quasiment considérés comme des salauds. Comparé aux impertinences de Coluche, Desproges ou Hara-Kiri, l'humour actuel s'autocensure à plaisir. La verve des bouffons se heurte désormais à leur propre retenue.
Que s'est-il passé ? Chacune dans son genre, l'affaire Siné ou la publication des caricatures de Mahomet symbolise le resserrement de l'étau politiquement correct en matière d'humour. Sous prétexte de défendre des victimes, les nouveaux gardiens de la morale, souvent chantres des valeurs de gauche, sont peut-être devenus eux-mêmes les responsables d'une société aseptisée où le rire est maintenant règlementé. Ou bien cette vigilance éthique tant revendiquée par la gauche serait-elle au contraire aujourd'hui salutaire pour protéger certains groupes stigmatisés ? Pour en avoir le cœur net, le journaliste Martin Leprince a interrogé des humoristes (Christophe Alévêque, Philippe Geluck, Didier Porte, Didier Bénureau, Dieudonné), des responsables de journaux satiriques (Philippe Val, Siné, Cavanna, Delfeil de Ton), des critiques du politiquement correct (Eric Zemmour, Jean-François Kahn, Claude Askolovitch, Philippe Sollers, Bernard Joubert), des dirigeants d'associations antiracistes ou citoyennes (SOS Racisme, Licra, MRAP, UEJF, FFDJF), des acteurs politiques (Malek Boutih, Razzy Hammadi) ainsi que l'historien du rire Georges Minois et l'avocat de Charlie Hebdo Richard Malka. Pour essayer de savoir si l'on a encore le droit de rire de tout... même quand on est de gauche.
Rire de ce que les autres ne trouvent pas drôle n'est plus seulement une faute de goût, c'est désormais une incitation à la haine. Les pitres d'hier, qui paraît-il osaient tout, ont droit aux louanges. À tort ou à raison, ceux qui tentent aujourd'hui de les imiter sont quasiment considérés comme des salauds. Comparé aux impertinences de Coluche, Desproges ou Hara-Kiri, l'humour actuel s'autocensure à plaisir. La verve des bouffons se heurte désormais à leur propre retenue.
Que s'est-il passé ? Chacune dans son genre, l'affaire Siné ou la publication des caricatures de Mahomet symbolise le resserrement de l'étau politiquement correct en matière d'humour. Sous prétexte de défendre des victimes, les nouveaux gardiens de la morale, souvent chantres des valeurs de gauche, sont peut-être devenus eux-mêmes les responsables d'une société aseptisée où le rire est maintenant règlementé. Ou bien cette vigilance éthique tant revendiquée par la gauche serait-elle au contraire aujourd'hui salutaire pour protéger certains groupes stigmatisés ? Pour en avoir le cœur net, le journaliste Martin Leprince a interrogé des humoristes (Christophe Alévêque, Philippe Geluck, Didier Porte, Didier Bénureau, Dieudonné), des responsables de journaux satiriques (Philippe Val, Siné, Cavanna, Delfeil de Ton), des critiques du politiquement correct (Eric Zemmour, Jean-François Kahn, Claude Askolovitch, Philippe Sollers, Bernard Joubert), des dirigeants d'associations antiracistes ou citoyennes (SOS Racisme, Licra, MRAP, UEJF, FFDJF), des acteurs politiques (Malek Boutih, Razzy Hammadi) ainsi que l'historien du rire Georges Minois et l'avocat de Charlie Hebdo Richard Malka. Pour essayer de savoir si l'on a encore le droit de rire de tout... même quand on est de gauche.
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
19,00François Waroux, Sergej Olegovič Žirnov