- Format
- Broché
- EAN13
- 9782729860288
- ISBN
- 978-2-7298-6028-8
- Éditeur
- Editions Ellipses
- Date de publication
- 15/09/2010
- Collection
- LES GRANDS THEO
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 19 x 14,5 x 0,9 cm
- Poids
- 153 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 330.1092
de Sismondi Simonde - Vie, œuvres, concepts
vie, oeuvres, concepts
De Lucien Gillard
Editions Ellipses
Les Grands Theo
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Citoyen genevois que les événements politiques contraignirent à trouver en Italie une seconde patrie (et un second patronyme), Simonde de Sismondi fut à la fois historien, économiste et penseur engagé de la chose politique.
D’esprit libéral, il fut proche de Benjamin Constant, ami de Germaine de Staël et membre actif du cercle cosmopolite de Coppet. Il perçut l’histoire comme une longue marche des peuples vers toujours plus de liberté. Il pensa toujours la liberté, la propriété ou la souveraineté par rapport aux contextes institutionnels qui leur donnent vie. Et il conçut l’économie comme une science morale et politique.
Gardien à long terme des équilibres de la Société, le gouvernement devait, à ses yeux, s’occuper davantage d’équité dans la répartition des richesses que de rapidité dans leur accumulation.
Les analyses qu’il fit des mécanismes économiques du premier XIXe siècle l’opposèrent à l’école anglaise, et en firent l’un des premiers penseurs hétérodoxes. L’histoire intellectuelle ne lui a pas encore attribué aujourd’hui la place qu’il mérite.
D’esprit libéral, il fut proche de Benjamin Constant, ami de Germaine de Staël et membre actif du cercle cosmopolite de Coppet. Il perçut l’histoire comme une longue marche des peuples vers toujours plus de liberté. Il pensa toujours la liberté, la propriété ou la souveraineté par rapport aux contextes institutionnels qui leur donnent vie. Et il conçut l’économie comme une science morale et politique.
Gardien à long terme des équilibres de la Société, le gouvernement devait, à ses yeux, s’occuper davantage d’équité dans la répartition des richesses que de rapidité dans leur accumulation.
Les analyses qu’il fit des mécanismes économiques du premier XIXe siècle l’opposèrent à l’école anglaise, et en firent l’un des premiers penseurs hétérodoxes. L’histoire intellectuelle ne lui a pas encore attribué aujourd’hui la place qu’il mérite.
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