- Format
- Broché
- EAN13
- 9782020131070
- ISBN
- 978-2-02-013107-0
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 03/10/1991
- Collection
- Cadre vert
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 0,1 x 0,1 x 0,1 cm
- Poids
- 401 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
- Code dewey
- 854.91
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Vendu par Librairie Lire et Chiner
- Description
- Paris, br.; in-8, 185 pp. Très bon état - traduit de l'italien par Jean-paul Manganaro
- État de l'exemplaire
- TBE
9.00 (Occasion)
La route de San Giovanni. Comment faire en sorte que la mémoire redécouvre encore la trace de quelques parcours inattendus de la vie ? C'est la question que pose ce livre et les cinq récits qui le composent.
A partir de l'histoire familiale liée au Père, de la biographie d'un spectateur de cinéma, d'une expédition sous la Résistance, d'une activité domestique, d'une couleur du temps - l'opaque -, Italo Calvino arpente les lignes infinies du souvenir qui le conduisent à une autre de ses interrogations parallèles : l'analyse des sensations qui ont déterminé l'oubli, et les retrouvailles avec le souvenir. C'est une fête du moi qui, même dans la mélancolie, n'abandonne jamais le ton humoristique.
Cette pensée qui écrit sait retrouver, dans chaque découpage qu'elle dessine intérieurement, autant de signes infinis : signes interdépendants des hommes et des choses, résorbés dans la pure signifiance d'une parole hautement poétisée («De l'opaque»), dans l'analyse d'une rencontre inattendue (avec Fellini), dans la description non innocente des gestes quotidiens («La poubelle agréée»). Au-delà de l'inédit, une nouvelle rencontre avec un des esprits les plus curieux et novateurs de ce siècle, à l'instant même où il compose sa page.
Jean-Paul Manganaro
A partir de l'histoire familiale liée au Père, de la biographie d'un spectateur de cinéma, d'une expédition sous la Résistance, d'une activité domestique, d'une couleur du temps - l'opaque -, Italo Calvino arpente les lignes infinies du souvenir qui le conduisent à une autre de ses interrogations parallèles : l'analyse des sensations qui ont déterminé l'oubli, et les retrouvailles avec le souvenir. C'est une fête du moi qui, même dans la mélancolie, n'abandonne jamais le ton humoristique.
Cette pensée qui écrit sait retrouver, dans chaque découpage qu'elle dessine intérieurement, autant de signes infinis : signes interdépendants des hommes et des choses, résorbés dans la pure signifiance d'une parole hautement poétisée («De l'opaque»), dans l'analyse d'une rencontre inattendue (avec Fellini), dans la description non innocente des gestes quotidiens («La poubelle agréée»). Au-delà de l'inédit, une nouvelle rencontre avec un des esprits les plus curieux et novateurs de ce siècle, à l'instant même où il compose sa page.
Jean-Paul Manganaro
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