Pour une nouvelle narration du monde

Selon certains il n'existerait plus aucune alternative au capitalisme, et la globalisation, inéluctable, est un signe "progrès". En outre, la complexité du système mondial économique actuel rendrait impossible tout changement. C'est ainsi que de façon imperceptible, nous est imposée une vision marchande du monde, unique et réductrice.
Ricardo Petrella analyse la "narration dominante", qu'il nomme la "Théologie universelle capitaliste". Il démontre que la construction d'un monde différent passe d'abord par l'invention d'un autre façon de voir les choses et de les nommer.
La "narration de l'humanité" qu'il propose met en avant les principes fondateurs de solidarité, d'humanité, de paix, de droit à la vie, qui doivent devenir les priorités tout en respectant notre bien commun : la Tere.