- Format
- Broché
- EAN13
- 9782721000583
- ISBN
- 978-2-7210-0058-3
- Éditeur
- Éditions des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 14/05/1976
- Collection
- Essais
- Nombre de pages
- 245
- Dimensions
- 18 x 13,5 x 2 cm
- Poids
- 235 g
- Langue
- français
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R100061184: 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 245 pages - quelques planches de photos en noir et blanc - plats légèrement frottés.. . . . Classification Dewey : 305.4-La femme
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni
- Format
- In-12
- Reliure
- Broché
30.90 (Occasion)
Cinéastes, actrices, théoriciennes, script-girls, monteuses ont joint leurs regards et réflexions pour ce recueil initié par les femmes de Musidora, à l'origine du premier festival de films de femmes.
« Musidora est sortie de son fichier de films pour rassembler ces textes qui arrivaient, circulaient entre nous, débuts, amorces d'une réflexion sur des images vues ou qui n'existent pas encore — que nous voulons voir, que nous rêvons.
Un langage commun ? Une tonalité sans doute. Une respiration. Un livre. [...] Saisir la caméra comme d'autres femmes s'emparent du stylo, c'est aller au dehors, marquer de nouveaux territoires, quitter « la chambre à soi » (que Virginia Woolf avait toute raison de revendiquer [...]), c'est franchir des pas dans l'univers du fictif, briser le miroir.
Des approches plutôt que des analyses, des questions plutôt que des réponses : une exaspération certaine devant La Femme mise en images comme en morceaux choisis : une certitude, tout cela doit changer. »
« Musidora est sortie de son fichier de films pour rassembler ces textes qui arrivaient, circulaient entre nous, débuts, amorces d'une réflexion sur des images vues ou qui n'existent pas encore — que nous voulons voir, que nous rêvons.
Un langage commun ? Une tonalité sans doute. Une respiration. Un livre. [...] Saisir la caméra comme d'autres femmes s'emparent du stylo, c'est aller au dehors, marquer de nouveaux territoires, quitter « la chambre à soi » (que Virginia Woolf avait toute raison de revendiquer [...]), c'est franchir des pas dans l'univers du fictif, briser le miroir.
Des approches plutôt que des analyses, des questions plutôt que des réponses : une exaspération certaine devant La Femme mise en images comme en morceaux choisis : une certitude, tout cela doit changer. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.