- Format
- Luxe
- EAN13
- 9782850254604
- ISBN
- 978-2-85025-460-4
- Éditeur
- Hazan
- Date de publication
- 04/10/1996
- Collection
- Photographie
- Nombre de pages
- 736
- Dimensions
- 19,5 x 14,5 cm
- Poids
- 1448 g
- Langue
- français
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
-
Vendu par Librairie de l'Avenue
- Description
- In-12 broché 19,5 cm sur 14. Bon état d’occasion
- État de l'exemplaire
- BE
- Reliure
- Couverture souple
24.00 (Occasion)
- Le roman-photo de toute une génération immortalisée sur papier et transformée, par la grâce de Robert Doisneau, en une mappemonde visuelle du genre humain.
Robert Doisneau (1912-1994) est le plus reconnu des photographes connus. Pourtant, celui qui symbolise aujourd'hui, grâce à ses milliers de négatifs, une certaine idée de la France des années plus ou moins noires, entre 1930 et 1950, reste à bien des égards un inconnu. Longtemps classé dans la catégorie des reporters au petit bonheur la chance à cause de son insatiable curiosité, qui lui fit arpenter le pavé parisien avec la régularité d'un coucou suisse, Doisneau a lui-même mis de côté, presque effacé, comme par une excessive discrétion, toute une partie de son travail glané au hasard des rues, dans ces territoires ouvriers qu'il affectionnait au temps où la voiture n'avait pas encore piqué la place aux piétons. C'est cette mémoire retrouvée que ce livre propose, nouvelle lecture d'une oeuvre rebondissante en ce qu'elle révèle, par son abondance même, l'originalité d'un homme au vocabulaire gouleyant et qui fut aussi bien l'ami des poètes que des ivrognes.
Robert Doisneau (1912-1994) est le plus reconnu des photographes connus. Pourtant, celui qui symbolise aujourd'hui, grâce à ses milliers de négatifs, une certaine idée de la France des années plus ou moins noires, entre 1930 et 1950, reste à bien des égards un inconnu. Longtemps classé dans la catégorie des reporters au petit bonheur la chance à cause de son insatiable curiosité, qui lui fit arpenter le pavé parisien avec la régularité d'un coucou suisse, Doisneau a lui-même mis de côté, presque effacé, comme par une excessive discrétion, toute une partie de son travail glané au hasard des rues, dans ces territoires ouvriers qu'il affectionnait au temps où la voiture n'avait pas encore piqué la place aux piétons. C'est cette mémoire retrouvée que ce livre propose, nouvelle lecture d'une oeuvre rebondissante en ce qu'elle révèle, par son abondance même, l'originalité d'un homme au vocabulaire gouleyant et qui fut aussi bien l'ami des poètes que des ivrognes.
S'identifier pour envoyer des commentaires.