- Format
- Broché
- EAN13
- 9782804117696
- ISBN
- 978-2-8041-1769-6
- Éditeur
- De Boeck supérieur
- Date de publication
- 04/10/2000
- Collection
- Sciences, éthiques, sociétés
- Nombre de pages
- 288
- Dimensions
- 24 x 16 x 1,7 cm
- Poids
- 482 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 570.1
Le Phenomene De La Vie
Vers une biologie philosophique
De Hans Jonas
Traduit par Danielle Lories
De Boeck supérieur
Sciences, éthiques, sociétés
La phénoménologie de la vie de Hans Jonas est la quête d'une ontologie qui fasse justice du nihilisme issu de la pensée moderne.
La phénoménologie de la vie de Hans Jonas est la quête d'une ontologie qui fasse justice du nihilisme issu de la pensée moderne. Pris entre, d'une part, l'existentialisme contemporain, occupé de l'homme seulement, du caractère unique de sa situation, de sa solitude au monde et, d'autre part, la science qui, par principe, s'en tient aux faits extérieurs et dès lors efface la distinction de l'animé et de l'inanimé, le mode de penser actuel est incapable d'une compréhension de la vie digne de ce nom. Il s'agit donc de "réclamer pour l'unité psychophysique de la vie cette place dans le schème théorique qu'elle a perdue en raison du divorce du matériel et du mental depuis Descartes".
Dans cette optique, l'auteur défend la thèse selon laquelle "l'organique, même dans ses formes les plus inférieures, préfigure l'esprit, et l'esprit, même dans ce qu'il atteint de plus haut, demeure partie intégrante de l'organique".
La phénoménologie de la vie de Hans Jonas est la quête d'une ontologie qui fasse justice du nihilisme issu de la pensée moderne. Pris entre, d'une part, l'existentialisme contemporain, occupé de l'homme seulement, du caractère unique de sa situation, de sa solitude au monde et, d'autre part, la science qui, par principe, s'en tient aux faits extérieurs et dès lors efface la distinction de l'animé et de l'inanimé, le mode de penser actuel est incapable d'une compréhension de la vie digne de ce nom. Il s'agit donc de "réclamer pour l'unité psychophysique de la vie cette place dans le schème théorique qu'elle a perdue en raison du divorce du matériel et du mental depuis Descartes".
Dans cette optique, l'auteur défend la thèse selon laquelle "l'organique, même dans ses formes les plus inférieures, préfigure l'esprit, et l'esprit, même dans ce qu'il atteint de plus haut, demeure partie intégrante de l'organique".
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