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Henri Massis, Un témoin de la droite intellectuelle
Format
Broché
EAN13
9782710303107
ISBN
978-2-7103-0310-7
Éditeur
Table Ronde
Date de publication
Collection
Essais
Nombre de pages
396
Dimensions
24 x 15,4 x 3 cm
Poids
560 g
Langue
français

Henri Massis

Un témoin de la droite intellectuelle

De

Table Ronde

Essais

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  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    R240129141: 1987. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Pliures. 389 pages.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
    État de l'exemplaire
    Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Pliures
    Format
    In-8
    Reliure
    Broché
    65.25 (Occasion)
À travers la vie d'Henri Massis, c'est tout un pan de l'histoire intellectuelle, politique et littéraire de la France que redécouvre Michel Toda. À ceux qui demanderaient : «Qui est Henri Massis ?», Michel Déon a répondu récemment : «On ne mène pas une vie toute de droiture et de fidélité sans risquer la dérision ou l'oubli de ses contemporains. Henri Massis en a peut-être souffert sans jamais s'en plaindre ni accuser les coups. Ses certitudes le plaçaient au-dessus de ces mesquineries. Depuis L'Enquête d'Agathon jusqu'à son dernier livre, il a mené le même combat avec les armes loyales que son esprit et son cœur lui avaient forgées. Monarchiste et catholique, il a souffert dans ses convictions. D'accord sur le fond avec Charles Maurras, il n'a manifesté que par un silence respectueux sa désapprobation sur certains terrains qu'il jugeait à la fois imprudents et nocifs. Croyant, il a vu l'Église se déchirer sans la condamner. Henri Massis avait foi en l'idée royale et en un Dieu au-dessus des querelles de forme. Ne le prenons pas pour autant pour un homme à concessions. Sa compréhension était pure générosité, grande attention au bouleversement des mœurs et des idées dans une époque où il semblait mener un combat d'arrière-garde. Mais l'avant-garde qui ne le ménageait pas a vieilli bien avant lui. Aujourd'hui une nouvelle génération se penche sur le combat mené par cet homme très seul qui ne craignait pas d'affronter en de véritables duels oratoires ceux, comme Gide, qu'il accusait d'être les anges du diable. Il ne condamnait pas mais cherchait plutôt à convaincre ses adversaires. Ce philosophe que l'on caricaturait à plaisir aura été l'un des derniers défenseurs d'un Ordre sans lequel, selon lui, la pensée est incapable de maturité et d'universalité.»
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