- Format
- Broché
- EAN13
- 9782729115227
- ISBN
- 978-2-7291-1522-7
- Éditeur
- La Différence
- Date de publication
- 27/08/2004
- Collection
- LITTERA.FRANCAI
- Nombre de pages
- 250
- Dimensions
- 20 x 13,2 x 2,3 cm
- Poids
- 384 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 848.914
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« S’agit-il de portraits ? de souvenirs ? des deux à la fois ? Qu’importe. Griffonnés depuis une décennie, par à-coups, sans plan préalable, perdus et retrouvés, enfin rangés et mis au net, ces textes évoquent des êtres attachants ou odieux, guillerets ou atrabilaires, discrets ou hauts en couleur. Par quelle bizarre, obscure alchimie, se sont-ils transformés en personnages ? Et pourquoi les ai-je retenus, alors que certaines femmes, d’autres hommes ont joué dans ma vie un rôle aussi considérable que le leur ? Volonté irrépressible d’être sur la photo, avec des stars ?... Leur seul dénominateur commun est d’avoir, un peu, beaucoup, à la folie, aimé les livres. Il ne m’a pas paru illogique de leur en dédier un. » J.V.
PRESSE
« Les quarante-trois portraits rassemblés dans Adieu à quelques personnages, ouvrage d’autant plus pudique que l’auteur affiche son dégoût pour l’esthétique de l’aveu, montrent les relations mouvementées qu’impose la fréquentation des peintres et des écrivains. Joaquim Vital, né Lisboète en 1948, éditeur précoce avant que la police de Salazar l’oblige à l’exil à l’âge de dix-huit ans après l’avoir jeté en prison, un temps Bruxellois puis définitivement et nécessairement Parisien, prouve que l’admiration est intéressante à exercer. »
Claire Devarrieux, Libération.
« C’est méchant (“aspirant au génie, Hallier n’en avait pas”), bouleversant (la cécité de Lambrichs), pathétique (la vieillesse de Leonor Fini), sans appel (le suicide de Lamarche-Vadel) et injuste (avec Houellebecq). Il convient de lire ces Mémoires d’un “dinosaure irascible” comme un roman à l’ancienne. »
Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
« Joaquim Vital me fait penser à ce pirate anglais qui, lors d’un simulacre de procès, lança au juge : “Je ne suis peut-être pas parfait, mais je suis bien réel.” Et ce réel-là, nous en manquons aujourd’hui singulièrement. »
Gérard de Cortanze, Le Magazine littéraire.
« En croyant tirer le portrait de ces personnages, Joaquim Vital a raconté sa vie. Une belle vie. Peuplée de gens qu’on crève de ne pas avoir croisés ! »
Grégory Protche, Tant pis pour vous.
« Adieu à quelques personnages est, avant tout, une marche grandiose vers la mort. On y entend l’air final de La Tosca, lorsque, dans le va-et-vient du temps, les heures se dissolvent devant l’éternité. »
Vilma Fuentes, La Jornada (Mexique).
« S’agit-il de portraits ? de souvenirs ? des deux à la fois ? Qu’importe. Griffonnés depuis une décennie, par à-coups, sans plan préalable, perdus et retrouvés, enfin rangés et mis au net, ces textes évoquent des êtres attachants ou odieux, guillerets ou atrabilaires, discrets ou hauts en couleur. Par quelle bizarre, obscure alchimie, se sont-ils transformés en personnages ? Et pourquoi les ai-je retenus, alors que certaines femmes, d’autres hommes ont joué dans ma vie un rôle aussi considérable que le leur ? Volonté irrépressible d’être sur la photo, avec des stars ?... Leur seul dénominateur commun est d’avoir, un peu, beaucoup, à la folie, aimé les livres. Il ne m’a pas paru illogique de leur en dédier un. » J.V.
PRESSE
« Les quarante-trois portraits rassemblés dans Adieu à quelques personnages, ouvrage d’autant plus pudique que l’auteur affiche son dégoût pour l’esthétique de l’aveu, montrent les relations mouvementées qu’impose la fréquentation des peintres et des écrivains. Joaquim Vital, né Lisboète en 1948, éditeur précoce avant que la police de Salazar l’oblige à l’exil à l’âge de dix-huit ans après l’avoir jeté en prison, un temps Bruxellois puis définitivement et nécessairement Parisien, prouve que l’admiration est intéressante à exercer. »
Claire Devarrieux, Libération.
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Jérôme Garcin, Le Nouvel Observateur.
« Joaquim Vital me fait penser à ce pirate anglais qui, lors d’un simulacre de procès, lança au juge : “Je ne suis peut-être pas parfait, mais je suis bien réel.” Et ce réel-là, nous en manquons aujourd’hui singulièrement. »
Gérard de Cortanze, Le Magazine littéraire.
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