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Neuf 24,50
Occasion 3,19

Avec le Complexe d’Eden Bellwether, Benjamin Wood signe un premier roman magistral sur les frontières mouvantes entre le génie et la folie, la manipulation et ses jeux pervers – qui peuvent conduire aux plus extravagantes affabulations, à la démence ou au meurtre.
Cambridge, de nos jours. Oscar est un jeune homme vif, plutôt équilibré, qui s’est coupé de toute ambition pour échapper à l’emprise familiale. Au détour d’une allée de l’imposant campus, il est irrésistiblement attiré par la puissance de l’orgue et des chants provenant d’une chapelle. Subjugué malgré lui, Oscar ne peut maîtriser un sentiment d’extase. Premier rouage de l’engrenage. Dans l’assemblée, une jeune femme attire son attention. Elle s’appelle Iris, elle est étudiante en médecine, et affiche la spontanéité et la grâce indolente des filles bien nées qui se savent irrésistibles. Elle n’est autre que la soeur de l’organiste virtuose, Eden Bellwether, dont la passion exclusive pour la musique baroque s’accompagne d’étranges conceptions sur son usage hypnotique…
Bientôt intégré au petit groupe qui gravite autour d’Eden et Iris, mais de plus en plus perturbé par ce qui se trame dans la chapelle des Bellwether, Oscar en appelle à Herbert Crest, spécialiste incontesté des troubles de la personnalité. De manière inexorable, le célèbre professeur et l’étudiant manipulateur, qui prétend pouvoir le guérir de sa tumeur au cerveau, vont s’affronter dans une partie d’échecs en forme de duel, où chaque pièce avancée met en jeu l’équilibre mental de l’un et l’espérance de survie de l’autre.
À partir de thèmes chers à la littérature anglo-saxonne, avec un scénario tout à la fois diabolique et faustien, l’auteur du Complexe d’Eden Bellwether manifeste un don de conteur machiavélique qui suspend longtemps en nous tout jugement au bénéfice d’une intrigue à rebonds tenue de main de maître.


3,99

«Ces hommes qui sont tous nés dans le même hôpital, qui ont grandi ensemble, fréquenté les mêmes filles, respiré le même air. Ils ont développé une langue à eux, comme des bêtes sauvages.»
Ils étaient quatre. Inséparables, du moins le pensaient-ils. Arrivés à l'âge adulte, ils ont pris des chemins différents. Certains sont partis loin, d'autres sont restés. Ils sont devenus fermier, rock star, courtier et champion de rodéo. Une chose les unit encore : l'attachement indéfectible à leur ville natale, Little Wing, et à sa communauté. Aujourd'hui, l'heure des retrouvailles a sonné. Pour ces jeunes trentenaires, c'est aussi celle des bilans, de la nostalgie, du doute...
Nickolas Butler signe un premier roman singulier, subtil et tendre, récit d'une magnifique amitié et véritable chant d'amour au Midwest américain.

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Prix Page/America 2014


Stephen LEACOCK

Wombat

29,00

Satire caustique teintée de mélancolie, Bienvenue à Mariposa raconte les tribulations des habitants d’une bourgade fictive de l’Ontario à l’orée du xxe siècle. Leacock y croque le portrait d’une humanité cocasse et touchante, dans un monde aux portes de la modernité... Un monde obnubilé par l’argent, la politique, et l’amour, bien sûr.
Publié en 1912, le roman majeur du « Mark Twain canadien » est devenu un classique populaire de la littérature canadienne anglophone, qu’on lit de l’adolescence au grand âge. Cette première traduction française est illustrée avec art par un grand amateur de ce texte, le dessinateur canadien Seth.


Éditions de L'Olivier

Neuf 22,00
Occasion 3,99

La Seconde Guerre mondiale vit ses derniers instants. Sur un porte-avions au large du Japon, le jeune officier Philip Bowman rentre à New York. Embauché dans une maison d’édition, il devient directeur littéraire et fréquente l’intelligentsia new yorkaise. Entre splendeurs du monde des lettres, relations amoureuses et passions charnelles en Amérique et sur le vieux continent, Et rien d’autre nous plonge dans quarante années de la vie d’un homme, et déploie magistralement le spectre de toute une génération, dans sa gloire et ses échecs.
Après les célèbres Un bonheur parfait et Un sport et un passe-temps, James Salter, auteur phare des lettres américaines, sort de plus de 30 ans de silence romanesque et revient avec ce livre puissant, porté par la grâce de son écriture en suspension.


Albin Michel

Neuf 23,90
Occasion 3,99

Vaste fresque de l’Amérique de 1850 à nos jours, Le Fils de Philipp Meyer, finaliste du prestigieux prix Pulitzer 2014, est porté par trois personnages, trois générations d’une famille texane, les McCullough, dont les voix successives tissent la trame de ce roman exceptionnel.

Eli, enlevé par les Comanches à l’âge de onze ans, va passer parmi eux trois années qui marqueront sa vie. Revenu parmi les Blancs, il prend part à la conquête de l’Ouest avant de s’engager dans la guerre de Sécession et de bâtir un empire, devenant, sous le nom de « Colonel », un personnage de légende.

À la fois écrasé par son père et révolté par l’ambition dévastatrice de ce tyran autoritaire et cynique, son fils Peter profitera de la révolution mexicaine pour faire un choix qui bouleversera son destin et celui des siens.

Ambitieuse et sans scrupules, Jeanne-Anne, petite-fille de Peter, se retrouvera à la tête d’une des plus grosses fortunes du pays, prête à parachever l’œuvre de son arrière-grand-père.

Il est difficile de résumer un tel livre. Porté par un souffle hors du commun, Le Fils est à la fois une réflexion sur la condition humaine et le sens de l’Histoire, et une exploration fascinante de la part d’ombre du rêve américain.



« Meyer est un impressionnant et remarquable conteur, de ceux qui vous font tourner les pages sans même que vous vous en rendiez compte. » Richard Ford

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