- Format
- Broché
- EAN13
- 9782917957011
- ISBN
- 978-2-917957-01-1
- Éditeur
- HERMENEUT REVUE
- Date de publication
- 2009
- Dimensions
- 21,5 x 14 x 0,7 cm
- Poids
- 190 g
- Langue
- français
La Krisis de Husserl
Approches contemporaines
Contributions de Laurent Perreau, Claude Romano, Pierre-Jean Renaudie, Jean-Claude Gens, Julien Farges
Hermeneut Revue
Intitulé La crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale, le volume dit de la Krisis, paru en 1936, représente en quelque manière le testamement de Husserl.
Son intérêt majeur tient au fait que la phénoménologie s’y confronte directement à une crise dont le fameux article de la revue Logos, « La philosophie comme science rigoureuse », (1911), établissait déjà le diagnostic. Cette confrontation relève ainsi la tâche réflexive d’une philosophie qui ne se contente pas de spéculations intemporelles, mais s’efforce de comprendre la concrétude de son époque.
Vingt-cinq ans après le diagnostic de 1911, l’analyse husserlienne prend le chemin d’une « question en retour » relative à la rationalité moderne, au déploiement des sciences, c’està-dire au sens de leur traditionalité, pour la reconduire au fond qu’elle présuppose, celui du monde de la vie. La lecture, ou la relecture, de Husserl auquel invite ce recueil, se justifie d’autant plus que son interrogation n’a rien perdu de son acuité au regard de l’intensification actuelle du règne des technosciences et de la détresse qui l’accompagne.
Son intérêt majeur tient au fait que la phénoménologie s’y confronte directement à une crise dont le fameux article de la revue Logos, « La philosophie comme science rigoureuse », (1911), établissait déjà le diagnostic. Cette confrontation relève ainsi la tâche réflexive d’une philosophie qui ne se contente pas de spéculations intemporelles, mais s’efforce de comprendre la concrétude de son époque.
Vingt-cinq ans après le diagnostic de 1911, l’analyse husserlienne prend le chemin d’une « question en retour » relative à la rationalité moderne, au déploiement des sciences, c’està-dire au sens de leur traditionalité, pour la reconduire au fond qu’elle présuppose, celui du monde de la vie. La lecture, ou la relecture, de Husserl auquel invite ce recueil, se justifie d’autant plus que son interrogation n’a rien perdu de son acuité au regard de l’intensification actuelle du règne des technosciences et de la détresse qui l’accompagne.
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Centre universitaire de recherches sur l'action publique et le politique, épistémologie et sciences sociales, Centre d'étude des mouvements sociaux
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23,00Jean-Claude Gens, Philippe Cabestan, Georges Charbonneau, André Guigot, Michèle Gennart, Frédérique Bisiaux, Guy Risbec, Fernando Landazuri, Jérôme Englebert